Issue de la Haute Ecole de Coaching Paris,je me suis permise d’emprunter quelques
paragraphes de leur charte que je trouve incontournable et vraie, et en y ajoutant ce qui me
semblait important pour moi .
Le coaching professionnel se définit comme une relation suivie dans une période définie qui
permet au client d’obtenir des résultats concrets et mesurables dans sa vie professionnelle
et personnelle. À travers le processus du coaching, le client approfondit ses connaissances
et améliore ses performances .Le client clarifie ses objectifs et s’engage dans l’action grâce
à l’interactivité établie entre le coach et lui.
L’accompagnement permet au client de progresser plus rapidement vers la réalisation de
ses objectifs, car la relation de coaching l’invite à se centrer sur ses priorités et ses choix. Le
processus de coaching se concentre sur la situation présente du client et sur ce qu’il est prêt
à mettre en oeuvre pour atteindre ses objectifs.
Cet engagement est matérialisé par un contrat écrit qui précise les objectifs de
l’accompagnement,la durée estimée,les modalités de restitutions au donneur d’ordre en cas
de relation tripartite et le tarif pratiqué.
Ce contrat est rédigé dans le respect des règles juridiques en vigueur en matière de contrat
de prestation de service .
Le coach s’engage au secret professionnel dans la pérennité de son activité professionnelle
et de par son éthique.
Le coach a un devoir d’engagement à utiliser à l’égard de la personne auprès de laquelle il
intervient dans l’ensemble de son expérience et de ses compétences professionnelles en
fonction des problématiques qu’elle expose.
Le coach reste en écoute active,en disponibilité exclusive, le temps du coaching pour des
interventions, des conseils.
Le coach se doit d’informer le coaché lorsque les problèmes soulevés par l’intervention
sortent du champ des compétences du coach et lui recommander le cas échéant le recours
à d’autres professionnels.
Le coach se doit d’entretenir un lien régulier de supervision et y avoir recours lorsque la
problématique du coaché le renvoie à ses difficultés personnelles.
Le coach rencontre son superviseur une fois par mois et peut la solliciter quand le coach en
ressent le besoin pour un bon discernement,un cas de conscience déontologique, et aussi
théorique sur un point de formation d’expertise particulière et singulière.
Le coach refuse d’aider le coaché à agir en dehors du cadre de la loi ou si l’intervention
n’assure pas le respect des personnes. Le coach se donne le droit de refuser de prendre un
coaché, ou d’arrêter le coaching si besoin: il n’y a pas de devoir d’assistance.
Le coach a un devoir de s’informer et de se former aux recherches et avancées dans les
domaines professionnels de sa compétence. Il a un devoir d’amélioration continue par les
livres reconnus dans les domaines d’interventions, la participation aux congrès et séminaires
spécialisés, la consultation de site internet et notamment le devoir d’entretenir un réseau de
confrères avec lesquels le coach échange sur des avancées théoriques et de nouvelles
méthodes.
Le coach, un professionnel diplômé.
Le coach est expérimenté
Le coach est un professionnel formé et certifié.
La compétence du coach est assurée par une formation encadrée et spécialisée.
Voilà ce sur quoi je m’engage.